Jacqueline Chabridon Jeune

May 2024 · 5 minute read

Jacqueline Chabridon Jeune – L’amour de Jacques Chirac et le soutien de Bernadette Chirac l’ont accompagné jusqu’au bout. Au milieu des années 1970, l’idylle entre le Premier ministre et la journaliste Jacqueline Chabridon a failli déchirer le pays. Jacques Chirac, décédé le jeudi 26 septembre 2019, était marié.

Bernadette Thérèse Marie Chodron de Courcel depuis près de 60 ans. L’ancienne Première Dame sera aux côtés de son mari jusqu’au bout. Ses blagues, grandes et petites, étaient toujours hilarantes. Tout le monde connaît la liaison entre l’ancien président français Jacques Chirac et la journaliste.

Jacqueline Chabridon, largement considérée comme la plus grande histoire de liaison extraconjugale jamais racontée. Jacques Chirac et Jacqueline Chabridon se sont rencontrés pour la première fois en janvier 1975. Collaboratrice du Figaro, onze ans, née a Désertines, Allier, le 1er janvier 1940.

Envoyée par son rédacteur en chef pour suivre Valéry Giscard d’Estaing, premier ministre du pays. Le cadre idyllique sera centré sur un veau nouveau-né. Le jeune politicien la met au défi de manger aussi vite que lui tout en consommant des portions énormes. Le journaliste a de la chance d’être en vie; elle est en fuite.

De quoi enchanter le premier ministre. Ils s’adonnent ouvertement à leur passe-temps pendant environ 15 mois. En public comme en privé, Jacques Chirac la veut à ses côtés. La personne connue sous le nom de “douche de cinq minutes incluse” est vraiment folle cette fois-ci. Il est prêt à tout lâcher avec.

Charles Hernu et Alain Fernbach, ndlr pour celui qui a déjà dit “Oui” deux fois. Jacques Chirac a aménagé un atelier rue de Marignan pour sa maîtresse Jacqueline Chabridon. Pour eux, c’est l’équivalent d’un refuge ou d’un cocon. Bernadette Chirac, la fonctionnaire, la surveille dans son travail de.

Jacqueline Chabridon Jeune

Journaliste, toujours à l’affût de tout soupçon. A l’époque, il n’y avait pas de divorce, surtout dans la famille de Bernadette Chodron de Courcel. Dans les coulisses, ce dernier se marie avec Marie-France Garaud, la conseillère de son mari, pour tenter de mettre un terme à la saga, qui le fera d’ici l’été 1978.

Alors que la carrière de Jacques Chirac décolle, il commet deux erreurs majeures. : il quitte Matignon et Chabridon. La journaliste tente de mettre fin à ses jours, l’homme politique ne viendra même pas à son chevet. Jacqueline Chabridon rejoint Radio Monte-Carlo en 1978 en tant que responsable du.

Service politique et gravit les échelons pour devenir rédactrice en chef trois ans plus tard. En 1983, elle rejoint l’Institut des hautes études de la défense nationale en tant qu’auditeur. Elle quitte finalement l’industrie des médias et prend un poste de directrice de la communication au Crédit Lyonnais.

Elle rejoint Matignon quelques mois où elle a été en charge du service de presse du Premier ministre Michel Rocard, avant de revenir au Crédit Lyonnais. Au début des années 1990, elle collabore avec la RATP et Air France avant d’entamer le nouveau millénaire en tant que directrice de la.

Communication du groupe d’hôtels et de casinos Lucien Barrière. L’ancienne journaliste a été honorée du rang de chevalier de la Légion d’honneur en 2009. “Je ne suis pas Valérie Trierweiler”, a glissé Jacqueline Chabridon lorsque les journalistes Laureline Dupont et Pauline de Saint-Rémy ont tenté de.

Lui soutirer des mots pour leur livre paru en septembre 2016. “Le contrat était clair : elle ne nous révélerait rien, démentirait ou confirmerait simplement nos informations”, se souvient Laureline Dupont de Grazia. D’un autre côté, elle a des sentiments contradictoires à propos du partage de cette histoire.

Elle a 75 ans et semble être de bonne humeur. Jacqueline Chabridon, qui a 79 ans ce printemps, a organisé une fête pour lui rendre hommage. Comme le rappelle Madame Figaro, la journaliste s’est remariée au Pr Olivier Lyon-Caen, célèbre neurologue qui, par hasard de l’Histoire, sera le médecin attitré d’un.

Ancien président de la République qui souffrait de troubles de la mémoire. Jacqueline Chabridon est née le 1er janvier 1940, dans la petite ville de Désertines, dans l’Allier, du musicien Georges Chabridon et de la commerçante Georgette Viguié. Elle a finalement quitté sa ville natale pour fréquenter l’université de Vichy puis de Paris.

À partir de 1961, Jacqueline travaille comme dactylographe et secrétaire au service grand reportage de Radio Luxembourg, marquant le début de sa carrière de journaliste. Parallèlement, elle contribue au quotidien Combat avec de nombreux articles. Le journaliste est promu au Figaro après avoir.

Travaillé à la radio pendant deux ans. Elle y débute sa carrière en 1974 comme rédactrice en chef et y reste jusqu’en 1976, date à laquelle elle est promue à la tête du service politique du RMC. Là, elle a gravi les échelons jusqu’au statut de rédactrice en chef au cours des trois années suivantes avant d’occuper un.

Poste d’auditeur à l’Institute for Advanced National Defence Studies en 1983. Jacqueline, cependant, s’est lassée du journalisme. et est aujourd’hui directeur de la communication du Crédit Lyonnais. Elle a commencé à travailler pour la RATP en 1990, puis pour Air France fDe 1994 à 1998.

L’ancienne journaliste a également reçu la Légion d’honneur l’année même où elle a été nommée directrice de la communication du groupe d’hôtels et de casinos Lucien Barrière, poste qu’elle a occupé jusqu’aux années 2003-2009. En 1963, elle se marie avec la personnalité politique Charles Hernu.

Le journaliste a eu une liaison avec le Premier ministre Jacques Chirac en 1975, et les deux ont fini par se séparer ; cette même année, Jacqueline et Charles ont demandé le divorce. Elle a épousé Alain Fernbach, neurologue, en 1996. Son mari s’appelait alors Olivier Lyon-Caen. Au premier jour de sa vie.

Le 1er janvier 1940, dans l’Allier, Jacqueline Chabridon découvre sa passion pour le journalisme. Elle s’est déracinée avec sa famille pour poursuivre des études supérieures à Vichy et plus tard à Paris. Après avoir débuté sa carrière comme journaliste à Radio Luxembourg en 1961, Jacqueline a ensuite rejoint l’équipe de la publication française.

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